-Et toi, pourquoi tu ne me regarde que quand je ferme les yeux et que quand je te regarde tu te détourne ? qu’est ce qui te gène ?
-je crois… c’est l’importance que tu sembles me porter qui m’effraye…je…
-dis le.
-je t’aime.
- J’aime ton sourire. Il transcende les limites du simple sourire. Par la simple présence de ton sourire on en oublierai presque ton regard fuyant, tes yeux qui se perdent dans leur infini bleuté. Derrière ce sourire, on pourrai croire au bonheur…
Il nous renvoie les heures heureuses, les glaces a la vanille, les parcs et les jeux d’enfants, les sorties d’écoles, les goûters d’anniversaire, les merci, les je t’aime… Et pourtant si près de tes lèvres tes yeux expriment tant de regrets et de tristesse ; ils racontent les sanglots, les trahisons, les lundi matin… Comment oses-tu te cacher derrière ce masque, afficher tant de désinvolture ?
Quand souriras tu vraiment ?